C'est toujours avec plaisir que l'on croise Jean-Luc Chevalier, le plus souvent accompagné de son fils Emeric à la basse, que ce soit en duo comme ce Dimanche à Pénestin, en trio avec "Popoff" Chevalier ou au sein de Cernunos. Une dernière partie électrique avec le Who Knows d'Hendrix clôtura cette agréable soirée estivale.
Et rappelons que le premier disque de Jean-Luc, enregistré en 1976 avec Zigzag, va voir le jour en Octobre. Pour ceux qui auraient raté l'info, on vous en parle Ici
Zeuhl forcément mais aussi autour, ailleurs et surtout libre de toutes chapelles... Vidéos, sons, archives... le meilleur est à venir... ici ! Definitely Zeuhl but all around it too, elsewhere and above all free from all clans… Videos, sounds, archives … the best is to come… here !
mardi 29 juillet 2014
dimanche 27 juillet 2014
7 - Magma en 45 tours : Rétrovision - La Dawotsin, 1981
A- Rétrovision 3'52" (extrait)
B- La Dawotsin 2'58"
RCA DB 8678
Enregistré live à Paris (Olympia) du 9 au 11 juin 1980. Overdubs et mixage aux studios Ramsès et Acousti par J. B. Plé et Benoît Widemann.
Réalisation de Benoît Widemann.
Disque promotionnel.
Première parution début 1981.
Christian Vander : batterie, vocaux, piano : A + B
Stella Vander : chant : A + B
Lisa "Deluxe" Bois : chant : A + B
Jean-Luc Chevalier : guitare, basse : A
Benoît Widemann : piano, piano électrique, synthétiseur : A
Bernard Paganotti : basse : B
Jean-Pierre Fouquey : piano Fender : A
Maria Popkiewicz : chant : A + B
Guy Khalifa : chant : A
François Laizeau : percussions : A
Dominique Bertram : basse : A
Suite de cette série des 45 tours de Magma avec ce disque, exclusivement promotionnel et donc édité sans pochette.
L'année 1980 fut bien particulière pour Magma. Uniquement trois concerts à l'Olympia de programmés pour la rétrospective (dont nous retrouvons ici deux extraits), le départ de Klaus après 11 ans de bons et loyaux services et la recherche d'une nouvelle équipe pour une nouvelle épopée, recherches qui n'aboutiront qu'en février 1981 sur scène, la précédente équipe ayant splittée en juillet 1979 !
Pour en revenir à notre disque et de nombreux problèmes lors de ces concerts (la partie "Magma 1" non retenue sur disque par exemple) obligent Christian Vander à un gros travail en studio avec de nombreux overdubs et re-recording afin de pouvoir sortir une version acceptable de ces Retrospektïw, dans un ordonnancement surprenant puisque sort le Volume 3 avant les 1 et 2.
Les extraits de ce disque promo sont tirés de ce Volume 3.
Sur la première face et pour pouvoir passer sur 45 tours il a fallut couper Rétrovision. L'extrait choisi débute à 2'10" du titre de l'album de manière nette pour finir en fading 4 minutes plus tard. Ce n'est jamais facile de prendre une petite partie d'un ensemble, qui plus est si cet ensemble réserve des "climats" différents. C'est ici le cas comme ce le fut pour le SP "Köhntarkösz"en son temps. Magma n'est décidément vraiment pas fait pour ce format réservé aux courts morceaux ! En même temps Rétrovision comporte certains passages très dans son temps et plutôt assez abordables aux oreilles non "zeuhliennes". A défaut de faire un tabac il aurait pu passez sur les ondes. A priori ce ne fut pas le cas.
L'autre face nous offre "La Dawotsin", annoncé avec 2'58" mais qui est en fait complet (par rapport au LP) avec 3'58", ceci n'est sans doute qu'une erreur d'impression. Cette durée est déjà beaucoup plus conforme à ce format de vinyle, même si ce n'est que grâce à l'artifice du copié-collé LP-SP, cela s'entend sur le fading final ! Et quel morceau. L'ouverture, d'une beauté absolue, nous arrachant presque des larmes de par par sa sensibilité et sa mélancolie, avec juste un piano et une voix.
Ce titre laisse à penser à une composition d'une force et d'une richesse que nous voudrions découvrir plus amplement que cet extrait. Comme Christian revisite ses compositions passées inachevées (KA, ER), une reprise de cette oeuvre est à espérer...
Pourquoi le choix de ces deux titres sur ce 45 tours ? Hhaï ayant déjà été choisi en 1975, et Volume III n'ayant que 3 titres, le choix était simple. Il n'y avait plus qu'à extraire la partie de Rétrovision voulue pour la face A. Après pourquoi Magma en 45 tours ? Pour les médias, certes, mais peut être aussi en prévision de notre blog, 30 ou 45 ans plus tard !!!
Pas de chronique dans la presse en raison du statut de cet opus.
La rareté de ce disque est de 7 à 8 sur l'échelle kobaïenne, comme tous les promos.
B- La Dawotsin 2'58"
RCA DB 8678
Enregistré live à Paris (Olympia) du 9 au 11 juin 1980. Overdubs et mixage aux studios Ramsès et Acousti par J. B. Plé et Benoît Widemann.
Réalisation de Benoît Widemann.
Disque promotionnel.
Première parution début 1981.
Christian Vander : batterie, vocaux, piano : A + B
Stella Vander : chant : A + B
Lisa "Deluxe" Bois : chant : A + B
Jean-Luc Chevalier : guitare, basse : A
Benoît Widemann : piano, piano électrique, synthétiseur : A
Bernard Paganotti : basse : B
Jean-Pierre Fouquey : piano Fender : A
Maria Popkiewicz : chant : A + B
Guy Khalifa : chant : A
François Laizeau : percussions : A
Dominique Bertram : basse : A
Suite de cette série des 45 tours de Magma avec ce disque, exclusivement promotionnel et donc édité sans pochette.
L'année 1980 fut bien particulière pour Magma. Uniquement trois concerts à l'Olympia de programmés pour la rétrospective (dont nous retrouvons ici deux extraits), le départ de Klaus après 11 ans de bons et loyaux services et la recherche d'une nouvelle équipe pour une nouvelle épopée, recherches qui n'aboutiront qu'en février 1981 sur scène, la précédente équipe ayant splittée en juillet 1979 !
Pour en revenir à notre disque et de nombreux problèmes lors de ces concerts (la partie "Magma 1" non retenue sur disque par exemple) obligent Christian Vander à un gros travail en studio avec de nombreux overdubs et re-recording afin de pouvoir sortir une version acceptable de ces Retrospektïw, dans un ordonnancement surprenant puisque sort le Volume 3 avant les 1 et 2.
Les extraits de ce disque promo sont tirés de ce Volume 3.
Sur la première face et pour pouvoir passer sur 45 tours il a fallut couper Rétrovision. L'extrait choisi débute à 2'10" du titre de l'album de manière nette pour finir en fading 4 minutes plus tard. Ce n'est jamais facile de prendre une petite partie d'un ensemble, qui plus est si cet ensemble réserve des "climats" différents. C'est ici le cas comme ce le fut pour le SP "Köhntarkösz"en son temps. Magma n'est décidément vraiment pas fait pour ce format réservé aux courts morceaux ! En même temps Rétrovision comporte certains passages très dans son temps et plutôt assez abordables aux oreilles non "zeuhliennes". A défaut de faire un tabac il aurait pu passez sur les ondes. A priori ce ne fut pas le cas.
L'autre face nous offre "La Dawotsin", annoncé avec 2'58" mais qui est en fait complet (par rapport au LP) avec 3'58", ceci n'est sans doute qu'une erreur d'impression. Cette durée est déjà beaucoup plus conforme à ce format de vinyle, même si ce n'est que grâce à l'artifice du copié-collé LP-SP, cela s'entend sur le fading final ! Et quel morceau. L'ouverture, d'une beauté absolue, nous arrachant presque des larmes de par par sa sensibilité et sa mélancolie, avec juste un piano et une voix.
Ce titre laisse à penser à une composition d'une force et d'une richesse que nous voudrions découvrir plus amplement que cet extrait. Comme Christian revisite ses compositions passées inachevées (KA, ER), une reprise de cette oeuvre est à espérer...
Pourquoi le choix de ces deux titres sur ce 45 tours ? Hhaï ayant déjà été choisi en 1975, et Volume III n'ayant que 3 titres, le choix était simple. Il n'y avait plus qu'à extraire la partie de Rétrovision voulue pour la face A. Après pourquoi Magma en 45 tours ? Pour les médias, certes, mais peut être aussi en prévision de notre blog, 30 ou 45 ans plus tard !!!
Pas de chronique dans la presse en raison du statut de cet opus.
La rareté de ce disque est de 7 à 8 sur l'échelle kobaïenne, comme tous les promos.
jeudi 24 juillet 2014
Caillou à Melle, le 18 Juillet
Même lorsque KSZ ne peut être présent à un évènement, nous avons de fidèles lecteurs sur place ! Ainsi Pierre de Ramefort qui après nous avoir donné ses impressions sur le concert de Magma à la Souterraine ( Ici ), nous relate ici en texte et photos sa découverte de Caillou.
" Melle, charmante localité des Deux-Sèvres située à une trentaine de kilomètres de Niort, célèbre pour ses mines d'argent exploitées au Moyen-Age et ses jardins d'ortie contemporains, accueillait "le" CAILLOU de Philippe GLEIZES, ce 18 Juillet dans le cadre de l'édition 2014 de son bucolique (et entièrement gratuit !) festival "Boulevard du Jazz".
Jusqu'à la dernière minute, les organisateurs se concertent. Faut-il annuler le concert tant les forces célestes semblent menaçantes (si la scène est couverte, le public est, lui, en extérieur) ? Après quelques minutes de suspense, décision est prise d'autoriser CAILLOU à jouer, avec néanmoins pour consigne au public de rallier la sortie de secours (sic) si l'orage qui menace sérieusement devait éclater dans le ciel mellois ...
N'en pouvant plus d'attendre, le groupe démarre très fort. Si j'avoue ne pas (encore) connaître le nom des thèmes (acheté mon exemplaire du CD de 2012 à la fin de la prestation), force est de s'incliner devant la cohésion et la puissance de feu de ce CAILLOU, décidément très volcanique et ce, malgré les trop rares concerts de la formation. Très vite, le jeu virtuose et enflammé de Philippe GLEIZES capte toute l'attention du public, en partie britannique, dear.
Comme précédemment souligné par l'animateur de ce blog, Philippe GLEIZES est le batteur qui "a le mieux compris et assimilé le jeu et l'énergie du Christian VANDER de la première époque, sans tomber dans le plagiat", avec, toutefois un mimétisme avéré dans les expressions et postures physiques. Troublant. La musique n'en souffre pas une seconde, bien au contraire, et l'on aurait bien tort de ne retenir que cet aspect du batteur et de sa formation.
Rudy BLAS, le guitariste tisse des progressions quasi-frippiennes intenses et contenues, en prenant appui sur le jeu de basse plein et assuré de Charles LUCAS qui, par instants, rappelle lui aussi quelqu'un d'autre (flagrant sur "Tomahawk"), petites lunettes noires en moins. Brève interruption lorsqu'il devient nécessaire de déplacer le clavier de Mickaël SEVRAIN qui commence à prendre l'eau, la pluie ayant décidé de faire fuir le peu de public venu assister à la prestation. Faisant fi de ces caprices météorologiques, Philippe GLEIZES et ses acolytes redoublent de vigueur comme s'il s'agissait de conjurer le sort.
Pas question de rendre les armes, même si l'horizon est maintenant lézardé d'éclairs. Bien sûr, on ne peut éviter de songer tantôt à MAGMA, mais aussi au LIFETIME de Tony WILLIAMS, voire même au FUSION improvisé à la fin de l'année 1980 par le quartet LOCKWOOD, TOP, VANDER, WIDEMANN . Vous avez dit Jazz-Fusion ? Déplorant l'attitude des médias rock et des critiques jazz à l'égard de ce genre musical à la fin des années 70, début années 80, Didier LOCKWOOD évoque aujourd'hui un "formidable vecteur de réconciliation populaire avec un public jeune que l'on a perdu et que l'on n'a pas retrouvé".
Et si CAILLOU venait précisément démentir ses propos ? Il est vivement recommandé d'y croire ! "
lundi 21 juillet 2014
L'African Jazz Roots d'Ablaye Cissoko et Simon Goubert à Nantes le 17 Juillet
Comme chaque année, la programmation estivale des Heures d'Eté nantaises réserve quelques belles surprises à l'amateur de musique.
African Jazz Roots est un projet co-dirigé par Simon Goubert et Ablaye Cissoko (Kora) depuis 2010, qui a enregistré un album en 2011. Ce jeudi, la formation se présentait sous la forme réduite d'un quartet composé de Jean Philippe Viret à la contrebasse et de Sophia Domancich au piano.
Brassage entre le jazz, souvent d'obédience coltranienne et les sonorités de l'ouest de l'Afrique, la musique du groupe ne cède jamais à la facilité d'une fusion hasardeuse. Nous sommes ici face à une belle et noble rencontre, empreinte d'exigence et de respect.
Il suffit de croiser le regard d'Ablaye Cissoko pour comprendre que les notes de sa kora nous parlent de quelque chose de profondément spirituel, immuable... Cet homme là est habité par ce qu'il exprime, nul doute à ce sujet !
Simon Goubert se révèle être particulièrement à l'aise dans ce contexte. Et voir les "rombières" du premier rang se boucher les oreilles quand il commençait à creuser le son, fait partie de ces petits moments où l'on se dit que rien n'a vraiment changé dans notre beau pays...
Sophia Domancich, tenait ici une double fonction au piano, assurant la tenue harmonique de l'ensemble et également de nombreux dialogues avec la kora, beaux moments d'échanges entre deux mondes...
Jean-Philippe Viret a propulsé un soutien rythmique sans faille tout au long de cette soirée, joli son et un passage à l'archet particulièrement lyrique.
On l'aura compris, il ne faut pas rater l'African Jazz Roots sur scène même s'il y est visiblement rare. J'ai, certes, le regret de ne pas avoir vu la formation "au complet" (manquaient flûte et percussions) mais allez financer deux déplacements du Sénégal pour un unique concert...
Ayant profité de ce concert pour me procurer l'album, celui-ci offre une autre vision de la démarche des musiciens, la flûte peuhl ayant ici une large place. Mais le propos est tout aussi passionnant et demande de multiples écoutes...
En ce 17 Juillet, comment ne pas saisir les clins d'oeil de ce Spirit Wall au Spiritual de John Coltrane ? Une bien belle soirée...
Pour ceux qui veulent écouter
African Jazz Roots est un projet co-dirigé par Simon Goubert et Ablaye Cissoko (Kora) depuis 2010, qui a enregistré un album en 2011. Ce jeudi, la formation se présentait sous la forme réduite d'un quartet composé de Jean Philippe Viret à la contrebasse et de Sophia Domancich au piano.
Brassage entre le jazz, souvent d'obédience coltranienne et les sonorités de l'ouest de l'Afrique, la musique du groupe ne cède jamais à la facilité d'une fusion hasardeuse. Nous sommes ici face à une belle et noble rencontre, empreinte d'exigence et de respect.
Il suffit de croiser le regard d'Ablaye Cissoko pour comprendre que les notes de sa kora nous parlent de quelque chose de profondément spirituel, immuable... Cet homme là est habité par ce qu'il exprime, nul doute à ce sujet !
Simon Goubert se révèle être particulièrement à l'aise dans ce contexte. Et voir les "rombières" du premier rang se boucher les oreilles quand il commençait à creuser le son, fait partie de ces petits moments où l'on se dit que rien n'a vraiment changé dans notre beau pays...
Sophia Domancich, tenait ici une double fonction au piano, assurant la tenue harmonique de l'ensemble et également de nombreux dialogues avec la kora, beaux moments d'échanges entre deux mondes...
Jean-Philippe Viret a propulsé un soutien rythmique sans faille tout au long de cette soirée, joli son et un passage à l'archet particulièrement lyrique.
On l'aura compris, il ne faut pas rater l'African Jazz Roots sur scène même s'il y est visiblement rare. J'ai, certes, le regret de ne pas avoir vu la formation "au complet" (manquaient flûte et percussions) mais allez financer deux déplacements du Sénégal pour un unique concert...
Ayant profité de ce concert pour me procurer l'album, celui-ci offre une autre vision de la démarche des musiciens, la flûte peuhl ayant ici une large place. Mais le propos est tout aussi passionnant et demande de multiples écoutes...
En ce 17 Juillet, comment ne pas saisir les clins d'oeil de ce Spirit Wall au Spiritual de John Coltrane ? Une bien belle soirée...
Pour ceux qui veulent écouter
samedi 19 juillet 2014
Rhùn en concert oui mais en Allemagne...
Nous avons déjà eu l'occasion de vous parler de cet intéressant groupe de la région Caennaise et de son album très réussi (Ici).
Le groupe va avoir enfin l'occasion de se produire sur scène lors du prochain Freakshow Artrock Festival de Würzburg le 27 Septembre prochain.
On aimerait les savoir un peu plus près de nos oreilles mais espérons que quelques fidèles lecteurs allemands de KSZ puissent faire le déplacement...
Le site de Rhùn
Le groupe va avoir enfin l'occasion de se produire sur scène lors du prochain Freakshow Artrock Festival de Würzburg le 27 Septembre prochain.
On aimerait les savoir un peu plus près de nos oreilles mais espérons que quelques fidèles lecteurs allemands de KSZ puissent faire le déplacement...
Le site de Rhùn
jeudi 17 juillet 2014
Une deuxième vague de dématérialisation chez Seventh
Seventh vient de procéder à une deuxième mise en ligne de références désormais épuisées.
Du côté des AKT :
* Christian Vander Les Voyages de Christophe Colomb et Korusz
* Michel Graillier, Alby Cullaz et Simon Goubert It was a very good Night.
* Offering TLP Dejazet 1987
Et pour Magma le Mythes et Légendes
Le Lien
Du côté des AKT :
* Christian Vander Les Voyages de Christophe Colomb et Korusz
* Michel Graillier, Alby Cullaz et Simon Goubert It was a very good Night.
* Offering TLP Dejazet 1987
Et pour Magma le Mythes et Légendes
Le Lien
samedi 12 juillet 2014
Une archive vidéo de Philippe Cauvin de 1994
Une archive pas courante vient d'apparaître sur le Net, grâce à Thierry Payssan de Minimum Vital : un (premier) extrait filmé d'un concert de Philippe Cauvin à Bordeaux en 1994 !
On vous met le premier ici mais je d'autres extraits sont sur la "chaîne "de MrVitalmusique ! Merci pour le partage en tous cas !
On vous met le premier ici mais je d'autres extraits sont sur la "chaîne "de MrVitalmusique ! Merci pour le partage en tous cas !
jeudi 10 juillet 2014
Les 45 ans de Magma, le tour sans fin mais mondial !
On vous en parle depuis quelques jours, cela s'active pour les 45 ans de Magma. Côté concerts, outre le Triton de Novembre, des dates françaises (voir Ici les informations connues à ce jour, de nombreuses options étant en cours), sont annoncées :
L'Amérique du Sud (Chili à nouveau et normalement Brésil et peut-être même Pérou)
L'Amérique du Nord
Le Japon
La Scandinavie
L'Allemagne (Festivals en été)
Une série de concerts dans une grande salle parisienne est également en préparation pour la fin 2015.
Voilà un imposant programme, qui reste à confirmer dans les faits bien sûr, mais quoi qu'il en soit l'année 2015 (et la fin 2014) sera ZEUHL !
L'Amérique du Sud (Chili à nouveau et normalement Brésil et peut-être même Pérou)
L'Amérique du Nord
Le Japon
La Scandinavie
L'Allemagne (Festivals en été)
Une série de concerts dans une grande salle parisienne est également en préparation pour la fin 2015.
Voilà un imposant programme, qui reste à confirmer dans les faits bien sûr, mais quoi qu'il en soit l'année 2015 (et la fin 2014) sera ZEUHL !
mardi 8 juillet 2014
Des premières parties pour Magma en Novembre au Triton
Sur le même modèle de Free Human Zoo avant les concerts d'Offering en Septembre, deux formations joueront au Triton en Novembre prochain, en libre accès pour les possesseurs de billets pour Magma.
Nous vous avons déjà parlé ( Ici ) de la re-création de Baba Yaga sous la conduite d'Edson Goncalves, celle-ci se déroulera finalement par trois fois les Mercredi : le 5 à 14H30 (jeune public) et les 12 et 19 Novembre à 20H.
Du Mercredi 5 au Samedi 8, ce sera au tour de Marcus and the Music de se produire à 20H avec la même formule d'accès.
Nous vous avons déjà parlé ( Ici ) de la re-création de Baba Yaga sous la conduite d'Edson Goncalves, celle-ci se déroulera finalement par trois fois les Mercredi : le 5 à 14H30 (jeune public) et les 12 et 19 Novembre à 20H.
Du Mercredi 5 au Samedi 8, ce sera au tour de Marcus and the Music de se produire à 20H avec la même formule d'accès.
dimanche 6 juillet 2014
La soirée Tamla Zeuhl en photo
Certes notre ami Aredurno a déjà parlé de cette belle soirée mais son appareil photo ayant été très "sélectif" il nous est apparu utile de revenir sur cette belle soirée sous la forme d'un reportage photo un peu plus fourni...
Le premier set nous a permis de voir où en était Maison Klaus dans sa configuration "de base". Désormais plus de guitare dans le groupe (Exit Pierre Chéreze puis Jean-Michel Kajdan) mais un joli travail à deux claviers entre Gilles Erhart et le redoutable Benoît Widemann. Sans vouloir trop en rajouter sur ce dernier, il n'en reste pas moins vrai
que c'est toujours un véritable plaisir d'entendre un tel claviériste en direct, ses chorus constituant toujours un moment fort dans l'interprétation des thèmes. Une mention spéciale aussi à Stéphane Chausse, saxophoniste que je n'avais, pour ma part jamais entendu jusqu'à ce jour. Maison Klaus a bien évolué au travers des années et on ne peut que regretter que le groupe ne joue que sur Paris...
Le deuxième set fut entièrement dédié à Motown et la scène du Triton fut soudainement très petite avec trois soufflants, deux bassistes, deux batteurs, deux chanteurs, deux guitaristes et deux claviers... Alors pour ceux qui y étaient, et aussi les autres, voici une série de photos "souvenir" de l'ensemble des participants, enfin de ceux que nous avons pu capter avec notre appareil ! Désolé pour les deux qui manquent à l'appel...
Le premier set nous a permis de voir où en était Maison Klaus dans sa configuration "de base". Désormais plus de guitare dans le groupe (Exit Pierre Chéreze puis Jean-Michel Kajdan) mais un joli travail à deux claviers entre Gilles Erhart et le redoutable Benoît Widemann. Sans vouloir trop en rajouter sur ce dernier, il n'en reste pas moins vrai
que c'est toujours un véritable plaisir d'entendre un tel claviériste en direct, ses chorus constituant toujours un moment fort dans l'interprétation des thèmes. Une mention spéciale aussi à Stéphane Chausse, saxophoniste que je n'avais, pour ma part jamais entendu jusqu'à ce jour. Maison Klaus a bien évolué au travers des années et on ne peut que regretter que le groupe ne joue que sur Paris...
Le deuxième set fut entièrement dédié à Motown et la scène du Triton fut soudainement très petite avec trois soufflants, deux bassistes, deux batteurs, deux chanteurs, deux guitaristes et deux claviers... Alors pour ceux qui y étaient, et aussi les autres, voici une série de photos "souvenir" de l'ensemble des participants, enfin de ceux que nous avons pu capter avec notre appareil ! Désolé pour les deux qui manquent à l'appel...
jeudi 3 juillet 2014
Les concerts de l'été
L'été est là avec ses nombreux festivals dont on nous dit qu'ils pourraient être perturbés... Nous ne savons pas ce qui en sera finalement mais c'est un été de disette du côté des musiciens que nous avons pour habitude de suivre... Raison de plus pour ne pas rater les quelques dates que nous avons relevées !
Caillou :
11 Juillet : Planeze (66).
18 Juillet : Melle, Festival (79).
26 Juillet : Cauberotte, Festival (47).
Cernunos (Jean-Luc Chevalier) :
22 Juillet: Préfailles (44).
3 Août : Pénestin (56)
Ablaye Cissoko & Simon Goubert :
17 Juillet : Nantes
Albert Marcoeur :
+ Quatuor Béla : 8 Août Saint Génis (73).
+ Quatuor Béla : 26 Août Mulhouse (68).
Caillou :
11 Juillet : Planeze (66).
18 Juillet : Melle, Festival (79).
26 Juillet : Cauberotte, Festival (47).
Cernunos (Jean-Luc Chevalier) :
22 Juillet: Préfailles (44).
3 Août : Pénestin (56)
Ablaye Cissoko & Simon Goubert :
17 Juillet : Nantes
Albert Marcoeur :
+ Quatuor Béla : 8 Août Saint Génis (73).
+ Quatuor Béla : 26 Août Mulhouse (68).
mercredi 2 juillet 2014
Un retour sur le Quartet au Triton en photos mais aussi en anglais !
Si la chaleur s'est quelque peu apaisée sur Paris ce Vendredi, ce n'est pas encore le cas dans la "grande salle" du Triton... C'est durant la balance que nous retrouvons le quartet dans sa configuration désormais classique. Pas de répétitions à proprement parler, simplement quelques réglages et quelques "révisions" bien naturelles en cette période d'examens, les musiciens connaissent leur propos malgré le faible nombre de concerts. Le quartet joue là son quatrième concert de l'année... Quant au prochain il au aura lieu... un jour prochain !
Voilà qui est rageant quand on assiste à une telle prestation. Quoi dire qui n'ait pas encore été écrit ? Rude tache à l'évidence pour le chroniqueur... India, My Favorite Things, Transition, Naïma... le répertoire est "classique" mais la recherche permanente avec un évident plaisir des protagonistes.
Puis vint le moment des "boeufs". Simon Goubert s'installe à la batterie pour Lonnie's Lament. Pour l'anecdote, lorsque je l'ai vu arriver, j'étais persuadé de le voir s'installer au piano... J'avais simplement trois mois d'avance !
Un dernier rappel (je vous laisse deviner lequel) et le quartet quitte la scène avec des sourires qui en disent beaucoup sur le bonheur des musiciens...
Christian Vander dédia ce concert à la mémoire d'Elvin Jones, parti il y a un peu plus de dix années désormais et son jeu fut à la hauteur de cet hommage au Maître disparu. Une bien belle soirée.
Storm Vogel, fidèle lecteur néerlandais de KSZ, a eu la gentillesse de nous faire parvenir son ressenti du concert du Quartet, vendredi dernier... Qu'il en soit ici remercié au nom de tous nos lecteurs anglophones !
Voilà qui est rageant quand on assiste à une telle prestation. Quoi dire qui n'ait pas encore été écrit ? Rude tache à l'évidence pour le chroniqueur... India, My Favorite Things, Transition, Naïma... le répertoire est "classique" mais la recherche permanente avec un évident plaisir des protagonistes.
Puis vint le moment des "boeufs". Simon Goubert s'installe à la batterie pour Lonnie's Lament. Pour l'anecdote, lorsque je l'ai vu arriver, j'étais persuadé de le voir s'installer au piano... J'avais simplement trois mois d'avance !
Un dernier rappel (je vous laisse deviner lequel) et le quartet quitte la scène avec des sourires qui en disent beaucoup sur le bonheur des musiciens...
Christian Vander dédia ce concert à la mémoire d'Elvin Jones, parti il y a un peu plus de dix années désormais et son jeu fut à la hauteur de cet hommage au Maître disparu. Une bien belle soirée.
Storm Vogel, fidèle lecteur néerlandais de KSZ, a eu la gentillesse de nous faire parvenir son ressenti du concert du Quartet, vendredi dernier... Qu'il en soit ici remercié au nom de tous nos lecteurs anglophones !
Friday june 27, a handful of listeners gathered at Le Triton (Paris), to witness the concert of the Christian Vander Quartet. The small but charming club is the hatchery of French progjazz and ’Zeuhl’-music, with yearly concerts by the legendary group Magma and its offshoots like Maison Klaus, One Shot, Benoît Widemann and so on. The concert on friday (part of the festival Tritonales) featured Vander as a jazz drummer, as always in tribute to his legendary masters John Coltrane and Elvin Jones. From the beginning to the end it was a sustained vivacious musical trip, performed by utterly skilled musicians from the French jazz scene, leading to a standing ovation.
Christian Vander (*1948) is a lifetime adept of the legendary John Coltrane. With his jazz quartet, Vander refers to the period 1960-1964, in which Coltrane pioneered the so-called ’modal approach’, accompanied by pianist McCoy Tyner and drummer Elvin Jones. Using musical scales, pedal points and drones rather than the standard chord progressionss of the swing and bop lexicon, Coltrane reached for greater tonal flexibility, leading to unbounded, unending energy streaming ‘waves of sound’. Thus, exploring the possibilities of modal improvisation, jazz was given a greater freedom and was opened up to influences from music of India and even medieval Europe. It is known that the young Vander, born into a musical family and raised in an international jazz environment, was heavily touched by this new approach. Coltrane inspired him more deeply than any other jazz artist, although –as the story goes- it was Chet Baker who gave him his first kit. The death of Coltrane in 1967 at the age of 40, led Vander into a deep crisis and his eventual flight to Italy, out of which he resurrected to create Magma and Offering, music he is dedicating to his great spiritual predecessor ever since. The quartal voicings of McCoy Tyner found their way to Vander’s magnum opus (Köhntarkösz), on of his solos processed on the album Merci, Coltrane’s ‘sheets of sound’ are reflected in Vander’s characteristic falset singing and screaming, while Elvin Jones’ grooves and dynamics seem to be featured on all Magma albums… But mainly it is Trane’s infinite spiritual force, that rings through all Vander’s music.
No surprise, Vander’s jazz quartet is based upon the classic quartet of Coltrane from the early sixties. ’Songs’ from that time, like Transition, Naima, India, Impressions, Lonnie’s Lament, Body & Soul and of course My favourite Things, were in the repertoire. On drums, Christian Vander proved to be still the most inventive, unique, spiritual, adventurous and energetic drummer alive on earth. In style he is clearly a congenial ’fellow thinker’ of Elvin Jones, whose revolutionary style transformed the drums as a traditional time-keeping instrument, shattering the traditional time-keeper’s role and inspiring a whole new generation of drummers. His emerging, inventive playing redefined the role of the jazz rhythm section through the use of polyrhythms and metric modulations. The concert in Le Triton was dedicated to Elvin Jones, who became a personal friend of Vander untill his death in 2004. Laurent Fickelson is a virtuoso master in modal jazz, clearly influenced by McCoy Tyner, unruffled by the rhythmical adventures of Vander, even when his fills and crashes come close to ”controlled demolition”. Fickelson is the newest member of CV Quartet. His own albums are released on the Seventh Records label, like Magma and Offering. Emmanuel Grimonprez (double bass) is a highly energetic and flexible bass player, who has been at Vander’s side for a long time. If there has to be one comment on the CV Quartet, it is the lack of volume of the acoustic bass. Grimonprez should pump up his amplifier in between the massive drums and piano. A true precursor to Coltrane’s modal jazz is found in the hands of virtuoso Jean-Michel Couchet, although he is an alto saxophonist and clearly has his own musical vocabulary. Couchet contributed with dazzling and sparkling solos, besides playing the themes with great awareness. His contribution -also on soprano saxophone- seems to embrace the whole history of jazz, while remaining individually modern and dedicated to the modal approach. He studied at the American School of Modern Music (Paris) and played in the early nineties with ’Welcome’, a septet led by Vander and drummer Simon Goubert. The latter was also invited on stage in Le Triton, to take Vander’s place on drums during Lonnie’s Lament. Goubert, although playing with more well-rounded wrists and less volume, is clearly a soulbrother of Vander, who kept an eye on stage from behind the curtains.
Stormvogel
mardi 1 juillet 2014
Une première partie pour Offering les 25 et 26 Septembre au Triton
Nous avons déjà évoqué Free Human Zoo dans ces pages ( Ici ).Une nouvelle occasion nous en est donnée puisque le groupe se produira au Triton les 25 et 26 Septembre dans la seconde salle du Triton. L'accès en sera libre pour tous les possesseurs de billets pour Offering. Une belle occasion de découvrir une formation prometteuse !