Après un mois de Janvier quelque peu glacial, bienvenue à la Chandeleur et aux dates que nous avons trouvées pour vous. Bien sûr, il y a l'Olympia mais pas seulement...
African Jazz Roots (Goubert, Cissoko...) :
1er Février : Nantes, Pannonica.
Magma + Mëtalïk Orkestraah + Didier Lockwood :
2 & 3 Février : Paris Olympia.
Albert Marcoeur + Chantier Public :
4 Février : Saint Nazaire, Sous les Palmiers la Plage.
Christian Vander Quintet :
18 Février : Dinan, Théâtre des Jacobins.
Zeuhl forcément mais aussi autour, ailleurs et surtout libre de toutes chapelles... Vidéos, sons, archives... le meilleur est à venir... ici ! Definitely Zeuhl but all around it too, elsewhere and above all free from all clans… Videos, sounds, archives … the best is to come… here !
mardi 31 janvier 2017
lundi 30 janvier 2017
Speed Limit enfin réédité
En marge de Zao et avant sa propre Neffesh Music, Yochk'O Seffer, peut-être, déjà, en recherche d'une autre voie, avait gravé ces deux disques, au milieu des années 70, aux côtés du batteur George Jinda et du pianiste Jean-Louis Bucchi. Un premier album en 1974, puis un second, avec des cordes et Jannick Top à la Fuzz Bass qui en profita même pour graver une première version, épurée, de Soleil d'Ork sous le nom d'African Dance N°3 (que sont devenues le N° 1 & 2 ?) verront le jour de manière assez confidentielle en dépit d'une réédition japonaise en 2007.
C'est donc avec un certain étonnement que nous avons appris, enfin, la réédition de ces deux disques en Février par Muséa. Si vous ne voulez pas les rater, c'est le moment !
C'est donc avec un certain étonnement que nous avons appris, enfin, la réédition de ces deux disques en Février par Muséa. Si vous ne voulez pas les rater, c'est le moment !
vendredi 27 janvier 2017
MAJ : Art Zoyd le Coffret 44 ans 1/2 disponible en souscription
Pour commander c'est ICI
Il a déjà été question de ce projet de coffret d'Art Zoyd en ces pages mais les choses avancent puisque Cuneïform Records en annonce la sortie pour Février ou Mars 2017. Au programme 12 CD et 2 DVD avec un programme pour le moins alléchant mélant enregistrements en concerts et travaux studios inédits :
• Live Concert Berlin « Loft » (avril 1986)
• Häxan live Copenhagen « European Capital of Culture » (February 1996)
• u.B.I.Q.U.e live Maubeuge La Luna (January 2000)
• Lindbergh (circa 1990)
• Le Mariage du ciel et de l’enfer - ballet de Marseille - Roland Petit live Paris « Théâtre des Champs-Élysées »
• LIVE Reims Maison de la Culture (1980)
• LIVE Golf Drouot 1972
• Live at Pop Club avec Jose_ Artur, France-Inter radio (1974)
• LIVE Paris « Théâtre de la Renaissance » (1976)
• LIVE Le Vivat ARMENTIÈRES (2002)
• LIVE Grenoble (1990)
• LIVE MONS Art Zoyd / Musiques Nouvelles (2000)
• LIVE Maubeuge Art Zoyd / Orchestre National de Lille (2000)
• LIVE MEXICO Art Zoyd / Orquesta Sinfónica del Estado de México (1999)
• Live at Pop Club avec Jose_ Artur, Radio France Inter (1975)
• Faust (unreleased) (1992)
• Les Présidents (1980)
• Korbes (1995)
• Les Escalators mystérieux (2005)
• Globe Arena (1989)
• Musique pour le SIX-CENTENAIRE DU BEFFROI DE BETHUNE (1988)
• BETHUNE 1789 (1989)
• LES INATTENDUS DE MAUBEUGE « SPOUTNIK » (1993)
• Les Trois Mousquetaires
• FLIXECOURT Tisserands
• La Guerre de Marguerite
• Au nom du Père (1991)
• Malbodium (1987)
• L'étrangleur est derrière vous (1983)
• Terra Terra ! (1986)• MARCO POLO (1984)
DVD 1
LIVE FESTIVAL Rock In Opposition Le Garric / BIRTHDAY CONCERT (19 sept 2015)
DVD 2
BERLIN (live 14 & 15 AVRIL 1986)
PHASE IV / FR3 Télévision (Hôtel de Ville Maubeuge live décembre 1982)
Nosferatu - Teaser (1988)
Musique pour l'Odyssée / FR3 Télévision (1979) extrait
"The marriage of heaven and hell" (1985) - TV excerpt
mercredi 25 janvier 2017
Philippe Cauvin à Talence : Le compte-rendu
Nous vous avions annoncé l'évènement sans, toutefois, pouvoir y assister... Mais c'était sans compter sur notre réseau puisque l'ami Didier Houde, alias Zéro de Fréquence y était et nous fait part de son ressenti face à la nouvelle musique de Philippe Cauvin.
Le vendredi 13 janvier, l’accueillante salle d’animation de la Médiathèque Castagnera à Talence (Gironde) est presque pleine. Un peu plus tôt, en voyant la longue file d’attente devant la porte, je me suis assuré qu’il ne fallait pas réserver. Face au public qui patiente sagement, une guitare Hirade 1974 posée sur une chaise et deux petits amplificateurs AER Domino de chaque côté. Les lumières s’éteignent pour ne laisser que l’estrade éclairée. A peine. En fond, un mur blanc, encore plus blanc grâce au jeu des lumières. Je pense au sable et au désert et, j’ai dans l’esprit, la phrase « les musiciens du bord du monde ». Philippe Cauvin se fait attendre. Un tout petit peu. La guitare ne bouge pas.
Puis, Cauvin apparait sur scène. Longiligne, chapeau noir sur la tête. Philippe Cauvin est un homme mais il semble parfois être d’ailleurs. On dirait qu’il flotte. Il est intimidité par les applaudissements qui l’accueillent, il hésite un peu. En une fraction de seconde, c’est la détermination qui l’emporte et Philippe Cauvin prend sa guitare et s’assoit. Il y a de la gravité dans ce temps de respiration qui précède la musique. Puis, pendant plus d’une heure, le musicien nous ouvre son monde. Le son est très beau, enveloppant. Les deux amplis AER Domino sont faiblement dosés pour préserver la source naturelle. Les pièces, enchainées sans interruption, sont exigeantes et déroutantes mais cette apparente difficulté séduit. Cauvin ne veut pas nous perdre. Il nous invite à l’exploration, à la divagation, il nous noie même dans la musique mais nous rattrape constamment. Ce concert n’est pas le concert d’un guitariste qui joue de la musique avec sa guitare. Cauvin va plus loin, aborde tous les possibles, au-delà de la vibration des cordes. Les frôlements, les frottements, les crissements, la percussion sur la caisse de l’instrument, nourrissent la musique. Des mélodies émergent de l’instrument. Elles sont souvent à peine esquissées. Elles nous ramènent parfois à l’histoire de la musique et aux influences de Cauvin. On peut entendre le murmure d’un blues ou l’écho de l’Espagne. A certains moments, Philippe Cauvin chante son sabir poétique. La voix est superbe et contribue à rendre ce qu’on entend, ce qu’on voie, encore plus irréel et magique. Ce qui impressionne aussi, c’est la manière de Cauvin qui est un mélange de délicatesse et de fougue, c’est la sérénité qui émane de lui et, en même temps, la tension palpable en permanence.
Le concert se termine par une pièce intitulée « Glisstar », « morceau marquant et décisif » selon Philippe Cauvin, qu’il a composé pour le Magic Tour de son fils Thibault et qui contient une citation de MDK. Je suis rentré heureux, souriant et, en arrivant chez moi, j’ai écouté « NU », l’enregistrement du concert que Philippe Cauvin a donné au Rocher de Palmer de Cenon en octobre 2014 et premier disque de la série de 6 publiée récemment. Philippe Cauvin est un musicien inspiré qui entame sa nouvelle musique. Il mérite que les esprits libres s’intéressent à lui.
Didier Houde
Le vendredi 13 janvier, l’accueillante salle d’animation de la Médiathèque Castagnera à Talence (Gironde) est presque pleine. Un peu plus tôt, en voyant la longue file d’attente devant la porte, je me suis assuré qu’il ne fallait pas réserver. Face au public qui patiente sagement, une guitare Hirade 1974 posée sur une chaise et deux petits amplificateurs AER Domino de chaque côté. Les lumières s’éteignent pour ne laisser que l’estrade éclairée. A peine. En fond, un mur blanc, encore plus blanc grâce au jeu des lumières. Je pense au sable et au désert et, j’ai dans l’esprit, la phrase « les musiciens du bord du monde ». Philippe Cauvin se fait attendre. Un tout petit peu. La guitare ne bouge pas.
Puis, Cauvin apparait sur scène. Longiligne, chapeau noir sur la tête. Philippe Cauvin est un homme mais il semble parfois être d’ailleurs. On dirait qu’il flotte. Il est intimidité par les applaudissements qui l’accueillent, il hésite un peu. En une fraction de seconde, c’est la détermination qui l’emporte et Philippe Cauvin prend sa guitare et s’assoit. Il y a de la gravité dans ce temps de respiration qui précède la musique. Puis, pendant plus d’une heure, le musicien nous ouvre son monde. Le son est très beau, enveloppant. Les deux amplis AER Domino sont faiblement dosés pour préserver la source naturelle. Les pièces, enchainées sans interruption, sont exigeantes et déroutantes mais cette apparente difficulté séduit. Cauvin ne veut pas nous perdre. Il nous invite à l’exploration, à la divagation, il nous noie même dans la musique mais nous rattrape constamment. Ce concert n’est pas le concert d’un guitariste qui joue de la musique avec sa guitare. Cauvin va plus loin, aborde tous les possibles, au-delà de la vibration des cordes. Les frôlements, les frottements, les crissements, la percussion sur la caisse de l’instrument, nourrissent la musique. Des mélodies émergent de l’instrument. Elles sont souvent à peine esquissées. Elles nous ramènent parfois à l’histoire de la musique et aux influences de Cauvin. On peut entendre le murmure d’un blues ou l’écho de l’Espagne. A certains moments, Philippe Cauvin chante son sabir poétique. La voix est superbe et contribue à rendre ce qu’on entend, ce qu’on voie, encore plus irréel et magique. Ce qui impressionne aussi, c’est la manière de Cauvin qui est un mélange de délicatesse et de fougue, c’est la sérénité qui émane de lui et, en même temps, la tension palpable en permanence.
Le concert se termine par une pièce intitulée « Glisstar », « morceau marquant et décisif » selon Philippe Cauvin, qu’il a composé pour le Magic Tour de son fils Thibault et qui contient une citation de MDK. Je suis rentré heureux, souriant et, en arrivant chez moi, j’ai écouté « NU », l’enregistrement du concert que Philippe Cauvin a donné au Rocher de Palmer de Cenon en octobre 2014 et premier disque de la série de 6 publiée récemment. Philippe Cauvin est un musicien inspiré qui entame sa nouvelle musique. Il mérite que les esprits libres s’intéressent à lui.
Didier Houde
dimanche 22 janvier 2017
Au Japon une friandise à grignoter en regardant le DVD Emëhntëhtt Rê
C'est un Ümaï-Bö et c'est une patisserie très populaire au Japon, ici en édition spéciale pour les acheteurs du DVD !
Merci à Shigetoshi Myamoto pour cette information culinaire !
Merci à Shigetoshi Myamoto pour cette information culinaire !
mercredi 18 janvier 2017
African Jazz Roots à Nantes le 1er Février
Nous vous avions fait part, durant l'été 2014, de la belle découverte de la formation emmenée par Simon Goubert et Ablaye Cissoko à l'occasion de leur passage aux Heures d'été de Nantes. Bonne nouvelle pour les nantais car la formation sera de retour le 1er Février au Pannonica. Et comble de bonheur, le groupe jouera son nouveau répertoire, fraîchement enregistré cet automne avec Jean-Philippe Viret à la contrebasse et Sophia Domancich au piano... (NDR : Quelle première semaine de Février avec Magma à l'Olympia et Albert Marcoeur à Saint Nazaire...).
dimanche 15 janvier 2017
Disque(s) et concert, des nouvelles d'Albert Marcoeur
Plusieurs annonces en ce début d'année pour un musicien auquel nous sommes particulièrement attaché ici :
Si oui, Oui, Sinon, non, l'album enregistré avec le Quatuor Béla devrait enfin être disponible au cours du mois de Mars...
Par ailleurs, Albert Marcoeur va participer au prochain disque du très intéressant quartet de Jacky Molard, disque dont la sortie est prévue pour Octobre.
Côté concert, le 4 Février prochain à Saint Nazaire (Au café littéraire Sous les Palmiers, La Plage) aura lieu la première de Chantier Public, formule avec le saxophoniste Ronan le Gouriérec et le dessinateur (!) Yves Magne. Cette première, d'une intrigante formation, aura lieu uniquement sur réservation...
"Chantier public est la réunion improbable d’un saxophoniste baryton, d’un poète et d’un dessinateur. Ensemble, ils vont raconter, jouer, dessiner leurs envies, au gré de lectures, de chansons, de croquis, d’aventures, d’humeurs ou de rancœurs.
La musique est tantôt improvisée, tantôt écrite et d'acier trempé, aux structures fidèles et implacables comme des décennies sans pain. Chantier public développe une trame où les arrangements évoluent pour déranger la voix, déstabiliser, éveiller les sens et créer d’autres urgences.
La parole n’est que le spectacle de nos contradictions, de notre hypocrisie, de notre conservatisme, sinon de notre mort végétée. Et cela, dans un monde qui se devrait merveilleusement révolutionnaire, mais qui plie sous le joug des insolences et des excès.
Le dessin en direct sur papier grand format constitue une œuvre originale dans laquelle le graphisme escorte le texte et chorégraphie la musique, baladant le spectateur dans une dimension narrative et visuelle.
Le dialogue entre les contorsions du saxophone baryton, les techniques vocales et le rythme des coups de crayon permet à Chantier Public de s’affranchir des frontières géographiques et intellectuelles et d’explorer un territoire aussi étranger qu’étrangement familier".
Si oui, Oui, Sinon, non, l'album enregistré avec le Quatuor Béla devrait enfin être disponible au cours du mois de Mars...
Par ailleurs, Albert Marcoeur va participer au prochain disque du très intéressant quartet de Jacky Molard, disque dont la sortie est prévue pour Octobre.
Côté concert, le 4 Février prochain à Saint Nazaire (Au café littéraire Sous les Palmiers, La Plage) aura lieu la première de Chantier Public, formule avec le saxophoniste Ronan le Gouriérec et le dessinateur (!) Yves Magne. Cette première, d'une intrigante formation, aura lieu uniquement sur réservation...
"Chantier public est la réunion improbable d’un saxophoniste baryton, d’un poète et d’un dessinateur. Ensemble, ils vont raconter, jouer, dessiner leurs envies, au gré de lectures, de chansons, de croquis, d’aventures, d’humeurs ou de rancœurs.
La musique est tantôt improvisée, tantôt écrite et d'acier trempé, aux structures fidèles et implacables comme des décennies sans pain. Chantier public développe une trame où les arrangements évoluent pour déranger la voix, déstabiliser, éveiller les sens et créer d’autres urgences.
La parole n’est que le spectacle de nos contradictions, de notre hypocrisie, de notre conservatisme, sinon de notre mort végétée. Et cela, dans un monde qui se devrait merveilleusement révolutionnaire, mais qui plie sous le joug des insolences et des excès.
Le dessin en direct sur papier grand format constitue une œuvre originale dans laquelle le graphisme escorte le texte et chorégraphie la musique, baladant le spectateur dans une dimension narrative et visuelle.
Le dialogue entre les contorsions du saxophone baryton, les techniques vocales et le rythme des coups de crayon permet à Chantier Public de s’affranchir des frontières géographiques et intellectuelles et d’explorer un territoire aussi étranger qu’étrangement familier".
vendredi 13 janvier 2017
Wax'in au Sud de Paris le 28 Janvier
Après s'être rodé par deux fois au Triton, le quartet Godin - Collignon - Vaillant - Bussonnet franchit pour la première fois les portes de la banlieue pour se produire à Brétigny sur Orge. Et comme je suis d'humeur feignante, vous avez tous les renseignements sur l'affiche... Et même la retransmission de leur dernier concert en date au Triton !
mercredi 11 janvier 2017
De Futura sur France Inter c'est pas tous les jours mais c'était ce soir !
Depuis le début de la semaine, dans son émission radiophonique Very Good Trip, Michka Assayas traite de la scène progressive. Le volet de ce soir était titré De la musique progressive aux tourments de l'après punk. Et pour illustrer son propos, l'animateur a choisi, à côté du Red de King Crimson, un extrait de la composition de Jannick Top (vers 11mn). Il est aussi fait mention de la scène allemande de l'époque mais le tout est assez surperficiel quand même... On s'en contentera, en souriant, en pensant aux propos de Christian Vander parlant, à la sortie d'Attahk, d'after Punk...
En écoute ICI
En écoute ICI
mardi 10 janvier 2017
Rappel : Philippe Cauvin ce Vendredi à Talence
L'évènement est suffisamment rare pour qu'on y revienne... Notez l'horaire inhabituel pour être sûr de ne pas rater le rendez-vous ami Girondins ! Réservation vivement conseillée...
vendredi 6 janvier 2017
Un Olympia cela se prépare...
Il reste à peine un mois avant les deux concerts parisiens où Magma se verra renforcé par trente (!) jeunes musiciens ainsi que par Didier Lockwood en "guest Star", (Mekanïk ou pas ?).
Autant dire que Benoît Alziary a du pain sur la planche, d'autant plus que ses arrangements sur Slag Tanz seront ici une première...
Pour preuve, cette petite vidéo, qui a certes déjà pas mal circulé sur Facebook, mais nous savons que vous n'y ètes pas tous...
Autant dire que Benoît Alziary a du pain sur la planche, d'autant plus que ses arrangements sur Slag Tanz seront ici une première...
Pour preuve, cette petite vidéo, qui a certes déjà pas mal circulé sur Facebook, mais nous savons que vous n'y ètes pas tous...
mardi 3 janvier 2017
MAJ : Le DVD Emëhntëhtt-Rê disponible le 20 Janvier
Finalement annoncé pour le 20 Janvier, le double DVD consacré à la Trilogie Emëhntëhtt Rê et enregistré au Triton en Novembre 2014, sera uniquement disponible auprès de Seventh dans un premier temps... Ne m'en demandez pas la raison, je l'ignore tout comme vous... A noter l'entretien de Christian Vander avec Bruno Heuzé grand connaisseur de l'oeuvre...
C'est à commander, sans tarder, ICI
C'est à commander, sans tarder, ICI
lundi 2 janvier 2017
Les concerts de ce début 2017
Est-ce l'effet de la torpeur hivernale, mais nous voici avec bien peu de concerts à annoncer en ce début d'année... Fort heureusement, les deux dates que nous retenons sont deux occasions peu courantes, qu'il s'agisse du quintet de David Patrois et de Pierre Marcault (avec Philippe Gleizes) ou d'une des rares prestations solo de Philippe Cauvin...
Philippe Cauvin : 13 Janvier, Talence, Médiathèque la Castagnéra (18h30).
David Patrois & Pierre Marcault Quintet : 20 Janvier, Les Lilas, Le Triton.
Philippe Cauvin : 13 Janvier, Talence, Médiathèque la Castagnéra (18h30).
David Patrois & Pierre Marcault Quintet : 20 Janvier, Les Lilas, Le Triton.