Bientôt la fin de l'année et, en tous cas, une fin de tournée pour Magma qui se voit renforcé, pour ses deux derniers concerts en France, des cuivres de la Old School Funky Family, en toute logique pour MDK. Notons également le retour du Magma Vocal pour une première en Amérique du Sud.
A signaler deux évènements rares : Anaïd qui s'aventure en Bretagne et un duo composé d'Albert Marcoeur et de Julien Baillod autour du contrôleur du TER Dijon-Sens...
Visuel : Arrache-toi un Oeil
Anaïd :
11 : Rennes, le Ty Anna
Magma
2 : Cenon, Le Rocher de Palmer.
3 : Boucau, l'Apollo.
19 : Lima, Teatro Municipal.
21 : Buenos Aires, ND Teatro.
23 : Santiago de Chile, Nescafe de la Artes.
26 : Sao Paulo, Carioca Club.
Magma "vocal" + Christian Vander Piano solo :
24 : Santiago de Chile, theatro Municipal.
Albert Marcoeur :
7 : Sète, centre culturel Léo Mallet + Quatuor Béla
16 : Neuchâtel, théâtre du Passage + Julien Baillod.
Zeuhl forcément mais aussi autour, ailleurs et surtout libre de toutes chapelles... Vidéos, sons, archives... le meilleur est à venir... ici ! Definitely Zeuhl but all around it too, elsewhere and above all free from all clans… Videos, sounds, archives … the best is to come… here !
mardi 31 octobre 2017
lundi 30 octobre 2017
Magma, Roye le 21 octobre
Nous venons de publier le compte rendu du concert de Joué, deux jours avant Roye mais quelques lignes s'imposent néanmoins.
Commençons par le lieu, un théâtre aux formes futuristes bien inséré dans une ville reconstruite après les affres de 1918 et 1940, avec une église de 1930 très art-déco au clocher dressé tel un beffroi du Nord. Picardie oblige.
Ce Théâtre de l'Avre, inauguré en septembre 2016 (c'est dire s'il est récent) et tenu par un très sympathique directeur (merci encore de m'avoir ouvert les portes du lieu), est plutôt construit en hauteur dans ce Plat Pays. Deux étages pour arriver au niveau de la scène, et deux autres pour rejoindre la régie scène située en haut des gradins. Peu de recul mais, en échange, une belle plongée.
La scène est imbriquée avec le public car sans estrade ou séparation (configuration qui a plu à Christian), des sièges bien capitonnés, des rangs bien séparés entre eux afin que ceux qui n'atteignent pas la moyenne nationale (moi par exemple !) puissent voir ce qui se passe, une bonne acoustique et de bons éclairages.
Pendant l'installation du matériel, Christian, passionné et passionnant, nous a raconté au bar du Théâtre nombre de détails essentiels à la compréhension de l'œuvre d'un de ses films fétiche, Deer hunter ou Voyage au bout de l'enfer. Il va falloir le revoir pour aller les chercher ces clefs.
Dès la balance, des problèmes techniques avec certains micros et certaines liaisons câblées, apparaissent, ce qui a entraîné un certain retard, le temps de trouver les solutions.
L'occasion d'apercevoir Hervé à la batterie, ce qui a amusé tout le monde, lui-même y compris... Plus tard, Christian au piano électrique nous a joué quelques notes connues qui pourraient trouver place pour le concert acoustique de Santiago, la discussion est ouverte.
L'ouverture des portes s'est faite à 20h00 pour un concert qui aurait dû commencer à 20h30. Un retard pas bien méchant nous a fait patienter jusqu'au répertoire du moment, à savoir Ëmëhntëhtt-Rê, Theusz Hamtaahk et Ehn Deïss en rappel.
Des versions très proches entre les concerts de Joué et Roye, un peu plus de ci, un peu moins de ça, pour un plaisir (presque) identique mais tellement salutaire.
Il y avait néanmoins dans celui de Joué un je ne sais quoi de plus qui l'a rendu encore meilleur. Peut être que pendant le concert des petits soucis techniques ont gêné les musiciens. Il m'a semblé aussi que l'éclairage était un peu trop faible parfois. Disons que c'est un peu gênant pour les photos, même si c'est joli pour nos yeux !
Jamais content ces spectateurs !
Non, c'est pas vrai, les applaudissements furent mérités et chaleureux, pour un concert que, éternel dilemme, nous voudrions plus long. La solution est peut être de venir plus souvent ?
Je laisse la main pour un compte-rendu qui va nous venir de Cenon, je n'en doute pas. A ce propos, il reste des places pour Cenon et le Boucau, alors, locaux, touristes de passage, surfeurs et amateurs de vins fins (NDM : et de foie gras ! ), vous savez quoi faire !!!
Commençons par le lieu, un théâtre aux formes futuristes bien inséré dans une ville reconstruite après les affres de 1918 et 1940, avec une église de 1930 très art-déco au clocher dressé tel un beffroi du Nord. Picardie oblige.
Ce Théâtre de l'Avre, inauguré en septembre 2016 (c'est dire s'il est récent) et tenu par un très sympathique directeur (merci encore de m'avoir ouvert les portes du lieu), est plutôt construit en hauteur dans ce Plat Pays. Deux étages pour arriver au niveau de la scène, et deux autres pour rejoindre la régie scène située en haut des gradins. Peu de recul mais, en échange, une belle plongée.
La scène est imbriquée avec le public car sans estrade ou séparation (configuration qui a plu à Christian), des sièges bien capitonnés, des rangs bien séparés entre eux afin que ceux qui n'atteignent pas la moyenne nationale (moi par exemple !) puissent voir ce qui se passe, une bonne acoustique et de bons éclairages.
Pendant l'installation du matériel, Christian, passionné et passionnant, nous a raconté au bar du Théâtre nombre de détails essentiels à la compréhension de l'œuvre d'un de ses films fétiche, Deer hunter ou Voyage au bout de l'enfer. Il va falloir le revoir pour aller les chercher ces clefs.
Dès la balance, des problèmes techniques avec certains micros et certaines liaisons câblées, apparaissent, ce qui a entraîné un certain retard, le temps de trouver les solutions.
L'occasion d'apercevoir Hervé à la batterie, ce qui a amusé tout le monde, lui-même y compris... Plus tard, Christian au piano électrique nous a joué quelques notes connues qui pourraient trouver place pour le concert acoustique de Santiago, la discussion est ouverte.
L'ouverture des portes s'est faite à 20h00 pour un concert qui aurait dû commencer à 20h30. Un retard pas bien méchant nous a fait patienter jusqu'au répertoire du moment, à savoir Ëmëhntëhtt-Rê, Theusz Hamtaahk et Ehn Deïss en rappel.
Des versions très proches entre les concerts de Joué et Roye, un peu plus de ci, un peu moins de ça, pour un plaisir (presque) identique mais tellement salutaire.
Il y avait néanmoins dans celui de Joué un je ne sais quoi de plus qui l'a rendu encore meilleur. Peut être que pendant le concert des petits soucis techniques ont gêné les musiciens. Il m'a semblé aussi que l'éclairage était un peu trop faible parfois. Disons que c'est un peu gênant pour les photos, même si c'est joli pour nos yeux !
Jamais content ces spectateurs !
Non, c'est pas vrai, les applaudissements furent mérités et chaleureux, pour un concert que, éternel dilemme, nous voudrions plus long. La solution est peut être de venir plus souvent ?
Je laisse la main pour un compte-rendu qui va nous venir de Cenon, je n'en doute pas. A ce propos, il reste des places pour Cenon et le Boucau, alors, locaux, touristes de passage, surfeurs et amateurs de vins fins (NDM : et de foie gras ! ), vous savez quoi faire !!!
samedi 28 octobre 2017
Magma, Joué-lès-Tours, 19 octobre
Retour sur une très belle soirée.
Jeudi 19 octobre, Magma est à Joué-lès-Tours, au sud de la préfecture deux fois millénaire, dans une salle très moderne et bien conçue, au sein d'un ensemble socio-culturel (salle de concert, bibliothèque musicale, bar, salle de jeux...) fort plaisant.
La salle, est très "rock" dans sa conception, avec pour moitié de légers gradins entourant la régie son et lumière et, pour l'autre, un parterre plat devant une scène dominant la salle d'un bon mètre. Une Scène d'une bonne largeur pour que les groupes aient de la place mais sans excès et pour que le public puisse embrasser tout le monde. Un monde merveilleux quoi, même du regard !
Une bonne acoustique, les rampes de spots sont bien pensées, la température est parfaite (merci à cet automne aux douces températures) et un affichage des décibels pour les petites oreilles sensibles. Un bien bel endroit vous dis-je !
Comme d'habitude, tout le monde est sur place en milieu d'après-midi afin de finir le montage du matériel et de faire une balance dans la joie et la bonne humeur. Et l'on peut compter sur Hervé et Benoît pour mettre de l'ambiance. Tout cela nous emmène gentiment à l'ouverture des portes pour que tout et tous soient prêts pour 20h.
Le public est pour moitié grisonnant et, pour l'autre, foisonnant, très peu de jeunes, jeudi oblige, mais quelques heureux et chanceux ado mélomanes se sont glissés au milieu de la foule.
Le concert est prévu en deux parties, la première étant occupée par un groupe tourangeau, les No Sound in Space, sympathique quatuor de trois garçons aux guitare, basse et batterie et d'une dynamique demoiselle au violon. Cette formation est uniquement instrumentale et, en trois morceaux et 45 minutes, nous dévoile ses compositions tantôt douces, tantôt endiablées, avec des rappels à la King Crimson des débuts ou Van Der Graaf Generator fin seventies, et, surtout, leur propre style.
Cet avant goût musical a fait passer un bon moment au public et a certainement satisfait celles et ceux qui étaient venus les voir. Les autres aussi d'ailleurs !
Un petit entracte afin de retirer le matériel occupant l'avant-scène et aussi d'humidifier des gorges asséchées, ou d'enfumer des poumons dépendants...
Et puis, dans un noir profond, arrivent nos kobaïens, se plaçant dans un silence religieux.
Les premières notes d'Ëmëhntëhtt-Rê retentissent, accompagnées des voix de nos choristes pour cette belle et douce ouverture oscillant entre nos oreilles tel le feuillage d'un arbre au gré du vent. Christian prend bien sûr le chant sur Hhaï, même pas essoufflé d'avoir bien essuyé ses baguettes sur ses fûts et cymbales. Peaux et bronzes qui ne demandent que ça, et nous aussi !
Philippe "Bubu" se montre toujours aussi tellurique dès l'intro de Zombies. Cela fait vraiment du bien et ce morceau est un excellent thermomètre. Quand il cogne, c'est qu'il y a vraiment plein d'énergies (pluriel obligatoire !), et de l'énergie, on en a vraiment ressenti toute la soirée. Comme toujours certes, mais... Bref, 45 premières minutes de plaisir commun à nous tous, sur et hors scène.
Quelques mots de Stella rappelant que Christian reçu en 2009 les clefs de la ville des mains du maire ainsi qu'un spectateur heureux d'être là ce soir, nous racontant qu'il était déjà présent au Gibus en 1970. C'est dire... Il a bien eu de la chance de voir tous ces concerts toutes ces années durant...
Ensuite nous est offert un très beau Theusz Hamtaahk, où chacun donne tout ce qu'il a. Habituel me direz vous de la part de ces hérauts kobaïens, mais quand même, après toutes ces années, jamais de repos, toujours dedans, pour le public, pour la musique, pour eux, c'est beau, simplement beau. Certes, les versions changent, les musiciens changent, mais cela reste du grand Art. Depuis les premières traces éditées de 1974 (Radio Bremen et BBC London) jusqu'à aujourd'hui en passant par les live de 2000 au Trianon ou 2005 au Triton, que de musiciens de talent pour nous conter ce Temps de la Haine ! Bref, tout le monde de concert (!) nous sert un superbe moment ce soir.
Christian, annonçant la fin de cette soirée, en profite pour souhaiter un bon anniversaire à Rudy, jeune faon dans la harde ! Et justement, ce Rudy, qui a la lourde tache de remplacer James s'impose de plus belle manière à chaque concert, à chaque note pourrait on dire, avec un jeu très plaisant, très funky (ouais, ça m'est venu comme ça), très riff quoi !
Tout a une fin, et on fait mine de le croire malgré le noir persistant dans la salle. Alors des applaudissements, des sifflets, du tapage de pied et, ô surprise, ils reviennent. Comme si on n'avait pas vu le ballet des micros déplacés préparant le morceau suivant...
Stella introduit Ehn Deïss, un peu de guitare, de vibra et de piano, et des chants, beaucoup de chants, pour ce moment maintenant rituel de fin de concert sur cette douce mélodie, tout en fragilité et délicatesse. Bubu, seul absent, en profite pour commencer à faire baisser la température de ses doigts derrière la scène.
Et les lumières se rallument une dernière fois.
Bon, on aurait voulu un Magma plus long, c'est sûr, mais, et de l'avis de tous, ce fut une bien belle soirée, avec ce je ne sais quoi de plus qu'une autre pour la rendre encore meilleure, mais vous le saviez, vous y étiez peut être. Ou peut être pas...
Jeudi 19 octobre, Magma est à Joué-lès-Tours, au sud de la préfecture deux fois millénaire, dans une salle très moderne et bien conçue, au sein d'un ensemble socio-culturel (salle de concert, bibliothèque musicale, bar, salle de jeux...) fort plaisant.
La salle, est très "rock" dans sa conception, avec pour moitié de légers gradins entourant la régie son et lumière et, pour l'autre, un parterre plat devant une scène dominant la salle d'un bon mètre. Une Scène d'une bonne largeur pour que les groupes aient de la place mais sans excès et pour que le public puisse embrasser tout le monde. Un monde merveilleux quoi, même du regard !
Une bonne acoustique, les rampes de spots sont bien pensées, la température est parfaite (merci à cet automne aux douces températures) et un affichage des décibels pour les petites oreilles sensibles. Un bien bel endroit vous dis-je !
Comme d'habitude, tout le monde est sur place en milieu d'après-midi afin de finir le montage du matériel et de faire une balance dans la joie et la bonne humeur. Et l'on peut compter sur Hervé et Benoît pour mettre de l'ambiance. Tout cela nous emmène gentiment à l'ouverture des portes pour que tout et tous soient prêts pour 20h.
Le public est pour moitié grisonnant et, pour l'autre, foisonnant, très peu de jeunes, jeudi oblige, mais quelques heureux et chanceux ado mélomanes se sont glissés au milieu de la foule.
Le concert est prévu en deux parties, la première étant occupée par un groupe tourangeau, les No Sound in Space, sympathique quatuor de trois garçons aux guitare, basse et batterie et d'une dynamique demoiselle au violon. Cette formation est uniquement instrumentale et, en trois morceaux et 45 minutes, nous dévoile ses compositions tantôt douces, tantôt endiablées, avec des rappels à la King Crimson des débuts ou Van Der Graaf Generator fin seventies, et, surtout, leur propre style.
Cet avant goût musical a fait passer un bon moment au public et a certainement satisfait celles et ceux qui étaient venus les voir. Les autres aussi d'ailleurs !
Un petit entracte afin de retirer le matériel occupant l'avant-scène et aussi d'humidifier des gorges asséchées, ou d'enfumer des poumons dépendants...
Et puis, dans un noir profond, arrivent nos kobaïens, se plaçant dans un silence religieux.
Les premières notes d'Ëmëhntëhtt-Rê retentissent, accompagnées des voix de nos choristes pour cette belle et douce ouverture oscillant entre nos oreilles tel le feuillage d'un arbre au gré du vent. Christian prend bien sûr le chant sur Hhaï, même pas essoufflé d'avoir bien essuyé ses baguettes sur ses fûts et cymbales. Peaux et bronzes qui ne demandent que ça, et nous aussi !
Philippe "Bubu" se montre toujours aussi tellurique dès l'intro de Zombies. Cela fait vraiment du bien et ce morceau est un excellent thermomètre. Quand il cogne, c'est qu'il y a vraiment plein d'énergies (pluriel obligatoire !), et de l'énergie, on en a vraiment ressenti toute la soirée. Comme toujours certes, mais... Bref, 45 premières minutes de plaisir commun à nous tous, sur et hors scène.
Quelques mots de Stella rappelant que Christian reçu en 2009 les clefs de la ville des mains du maire ainsi qu'un spectateur heureux d'être là ce soir, nous racontant qu'il était déjà présent au Gibus en 1970. C'est dire... Il a bien eu de la chance de voir tous ces concerts toutes ces années durant...
Ensuite nous est offert un très beau Theusz Hamtaahk, où chacun donne tout ce qu'il a. Habituel me direz vous de la part de ces hérauts kobaïens, mais quand même, après toutes ces années, jamais de repos, toujours dedans, pour le public, pour la musique, pour eux, c'est beau, simplement beau. Certes, les versions changent, les musiciens changent, mais cela reste du grand Art. Depuis les premières traces éditées de 1974 (Radio Bremen et BBC London) jusqu'à aujourd'hui en passant par les live de 2000 au Trianon ou 2005 au Triton, que de musiciens de talent pour nous conter ce Temps de la Haine ! Bref, tout le monde de concert (!) nous sert un superbe moment ce soir.
Christian, annonçant la fin de cette soirée, en profite pour souhaiter un bon anniversaire à Rudy, jeune faon dans la harde ! Et justement, ce Rudy, qui a la lourde tache de remplacer James s'impose de plus belle manière à chaque concert, à chaque note pourrait on dire, avec un jeu très plaisant, très funky (ouais, ça m'est venu comme ça), très riff quoi !
Tout a une fin, et on fait mine de le croire malgré le noir persistant dans la salle. Alors des applaudissements, des sifflets, du tapage de pied et, ô surprise, ils reviennent. Comme si on n'avait pas vu le ballet des micros déplacés préparant le morceau suivant...
Stella introduit Ehn Deïss, un peu de guitare, de vibra et de piano, et des chants, beaucoup de chants, pour ce moment maintenant rituel de fin de concert sur cette douce mélodie, tout en fragilité et délicatesse. Bubu, seul absent, en profite pour commencer à faire baisser la température de ses doigts derrière la scène.
Et les lumières se rallument une dernière fois.
Bon, on aurait voulu un Magma plus long, c'est sûr, mais, et de l'avis de tous, ce fut une bien belle soirée, avec ce je ne sais quoi de plus qu'une autre pour la rendre encore meilleure, mais vous le saviez, vous y étiez peut être. Ou peut être pas...
jeudi 26 octobre 2017
MAGMA soutient le TRITON, concerts en janvier 2018
Les temps sont durs pour beaucoup d'entre nous, mais également pour des lieux qui nous sont chers, et Le Triton en fait partie.
Le Triton, ce n'est pas seulement 2 salles de concerts, ou un restaurant aux menus originaux et très abordables, ce n'est pas qu'un lieu culturel et de vie aux portes de Paris, c'est aussi un lieu social qui embauche et donne une chance à des jeunes qui en ont besoin. Et, sans aide ou subvention, ce genre de structure vacille et pourrait même disparaitre.
Etant donné les liens qui unissent Magma et Le Triton (plus de 100 concerts), nos amis zeuhliens vont donner 4 concerts du 24 au 27 janvier 2018 dont tous les cachets et bénéfices seront intégralement donnés au Triton afin de les aider.
Alors, aidons les nous aussi, et pas qu'en allant voir les concerts de Magma.
Les affiches sont nombreuses et éclectiques, les artistes sont toujours disponibles et il n'est pas rare de discuter ou de boire un verre avec eux au bar. Essayez d'en faire autant à la X Arena ou au Zénith de Je Ne Sais Où. Ici c'est possible, et en plus, du premier rang, vous êtes si près que vous pouvez même embrasser les pieds des musiciens. Bon là, c'est pour les fétichistes !
Pour Le Triton, c'est Ici, et pour la billetterie, c'est Là.
A vous de jouer maintenant.
Le Triton, ce n'est pas seulement 2 salles de concerts, ou un restaurant aux menus originaux et très abordables, ce n'est pas qu'un lieu culturel et de vie aux portes de Paris, c'est aussi un lieu social qui embauche et donne une chance à des jeunes qui en ont besoin. Et, sans aide ou subvention, ce genre de structure vacille et pourrait même disparaitre.
Etant donné les liens qui unissent Magma et Le Triton (plus de 100 concerts), nos amis zeuhliens vont donner 4 concerts du 24 au 27 janvier 2018 dont tous les cachets et bénéfices seront intégralement donnés au Triton afin de les aider.
Alors, aidons les nous aussi, et pas qu'en allant voir les concerts de Magma.
Les affiches sont nombreuses et éclectiques, les artistes sont toujours disponibles et il n'est pas rare de discuter ou de boire un verre avec eux au bar. Essayez d'en faire autant à la X Arena ou au Zénith de Je Ne Sais Où. Ici c'est possible, et en plus, du premier rang, vous êtes si près que vous pouvez même embrasser les pieds des musiciens. Bon là, c'est pour les fétichistes !
Pour Le Triton, c'est Ici, et pour la billetterie, c'est Là.
A vous de jouer maintenant.
vendredi 20 octobre 2017
Le Live in Bremen 1974 en vinyle
L'information circulait depuis l'été, sans que l'on sache trop si cette édition était officielle, ou pas. Sans rentrer dans des détails parcellaires, il semble bien que le groupe n'était pas vraiment au courant de cette nouvelle édition...
Visiblement tout est rentré dans l'ordre, puisque Seventh propose désormais l'objet à la vente sous la forme d'un double album aux quatre faces particulièrement copieuses...
Si vous vous sentez l'âme d'un collectionneur c'est Ici qu'il faut vous rendre.
Visiblement tout est rentré dans l'ordre, puisque Seventh propose désormais l'objet à la vente sous la forme d'un double album aux quatre faces particulièrement copieuses...
Si vous vous sentez l'âme d'un collectionneur c'est Ici qu'il faut vous rendre.
mercredi 18 octobre 2017
Rappel : Magma joue en France cette semaine !
Aussi étonnant que cela puisse apparaître à certains, Magma sera cette semaine en France pour deux concerts ! Jeudi le groupe sera à Joué Les Tours, dans une salle au nom évocateur, Le Temps Machine. En première partie, No Sound in Space, quartet de post-rock avec une violoniste, peut-être à découvrir ? (impossible de trouver la moindre note sur le web).
Samedi ce sera au tour (sic) de Roye de recevoir la Zeuhl. Peu d'infos sur ce concert. C'est dans la Somme, terre de combat de la première guerre mondiale et ce sera le premier concert de Magma dans cette ville avec des places numérotées au théâtre de l'Avre...
Samedi ce sera au tour (sic) de Roye de recevoir la Zeuhl. Peu d'infos sur ce concert. C'est dans la Somme, terre de combat de la première guerre mondiale et ce sera le premier concert de Magma dans cette ville avec des places numérotées au théâtre de l'Avre...
lundi 16 octobre 2017
Concert acoustique exceptionnel à Santiago du Chili le 24 novembre 2017
Nos amis Chiliens ont bien de la chance car, en plus du concert de Magma "électrique" du 23 novembre prochain, ils auront droit le lendemain à une soirée bien différente, aux formules "acoustiques".
En effet, cette soirée sera découpée en deux parties. La première verra se produire un "Christian Vander Solo", ce qui est déjà trop peu fréquent, et ce d'autant plus hors de France, mais la deuxième partie verra elle une, maintenant rarissime, formation à la "Les Voix de Magma", avec Jérome au piano, Christian, Stella, Isabelle et Hervé au chant. Une formule qui n'a pas été présentée au public depuis la soirée aquitaine de Lormont du 7 février 2008 (voire la soirée hommage à Michel Graillier du 25 février 2013, mais c'était assez différent). C'est dire !
Alors, amis Chiliens, touristes de passage ou cap-horniers en escale, ne manquez pas ces deux soirées !
Merci à Stella pour les précisions sur cette soirée événement.
En effet, cette soirée sera découpée en deux parties. La première verra se produire un "Christian Vander Solo", ce qui est déjà trop peu fréquent, et ce d'autant plus hors de France, mais la deuxième partie verra elle une, maintenant rarissime, formation à la "Les Voix de Magma", avec Jérome au piano, Christian, Stella, Isabelle et Hervé au chant. Une formule qui n'a pas été présentée au public depuis la soirée aquitaine de Lormont du 7 février 2008 (voire la soirée hommage à Michel Graillier du 25 février 2013, mais c'était assez différent). C'est dire !
Alors, amis Chiliens, touristes de passage ou cap-horniers en escale, ne manquez pas ces deux soirées !
Merci à Stella pour les précisions sur cette soirée événement.
lundi 2 octobre 2017
Octobre en Concerts
Quoi de mieux qu'une salle de concerts pour s'abriter des pluies d'automne ? Magma s'attarde dans le Nord de l'Europe, avec deux breaks héxagonaux, pendant que Chantier Public s'aventure hors des terres bretonnes...
Chantier Public (Marcoeur - Le Gouriérec - Magne) :
10 : Saint Nazaire, Sous les Palmiers, la Plage.
12 : Paris, Festival La Belle Ouie.
28 : Orléans, Festival des Rami.
Magma :
10 : Hambourg, Markthalle.
11 : Berlin, Kesselhaus.
19 : Joué les Tours, Le Temps Machine.
21 : Roye (80).
26 : Helsinki, Tavastia.
27 : Stockholm, Kulturhuset.
28 : Malmö, Kulturbolaget.
29 : Amsterdam, Melkweg.
Chantier Public (Marcoeur - Le Gouriérec - Magne) :
10 : Saint Nazaire, Sous les Palmiers, la Plage.
12 : Paris, Festival La Belle Ouie.
28 : Orléans, Festival des Rami.
Magma :
10 : Hambourg, Markthalle.
11 : Berlin, Kesselhaus.
19 : Joué les Tours, Le Temps Machine.
21 : Roye (80).
26 : Helsinki, Tavastia.
27 : Stockholm, Kulturhuset.
28 : Malmö, Kulturbolaget.
29 : Amsterdam, Melkweg.