Il est donc parti, la nuit dernière, rejoindre Rachid Houari, Pierre Moerlen, Pip Pyle et Kevin Ayers qui l'avaient précédé au fil des années...
Outre Gong, qu'il avait créé en France à l'aube des 70's, il fut surtout le personnage déterminant de la scène underground et psychédélique anglaise des années 60 en fondant Soft Machine avec Robert Wyatt, Kevin Ayers et Mike Ratledge.
Photo : Thierry Moreau
Les années passent et maintenant les mauvaises nouvelles se cumules.
RépondreSupprimerLui aussi avait créé son univers où nombres de planètes étaient venues faire un chemin plus ou moins long à ses cotés.
Venux m'avait informé de son état de santé inquiétant l'an passé et il doit être, tout comme nous, bien attristé de ce mauvais coup du sort.
Salut Bert Camembert !
http://www.planetgong.co.uk/news/current.shtml
RépondreSupprimerQuelques hommages dans des "quotidiens de référence":
RépondreSupprimerhttp://www.lemonde.fr/musiques/article/2015/03/13/le-gong-a-sonne-pour-daevid-allen_4593231_1654986.html?xtmc=daevid_allen&xtcr=1
http://www.theguardian.com/music/2015/mar/13/gong-founder-daevid-allen-has-died-aged-77
Et une vidéo assez curieuse: Allen et Wyatt, figurants dans un film de 1964: https://www.youtube.com/watch?v=wswhUGb1k6c
Bizarrement, l'article du Guardian est beaucoup plus lapidaire que celui du Monde.
SG
C'est Sylvain Siclier qui a fait l'article dans le Monde. Il connaît bien cette scène...
SupprimerIl y a aussi à lire et a voir sur MOJO le magazine anglais. Je cherche désespérément mon CD Camembert Electrique dans ma discothèque pourtant rangée par thème... avec Magma ? avec Samla ? avec Marcoeur ? avec Wyatt ? ... Je vais ranger mon frigo.
RépondreSupprimerJ'ai retrouvé mon Camembert Electrique ! Il était entre Heldon et Hatfield and The North.
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