B- The Last Seven Minutes (3'56")
Eurodisc 11484
Enregistré à Hérouville (95), studio du Château d'Hérouville, entre septembre 1977 et janvier 1978, par Michel Marie
Produit par Laurent Thibault.
Parution en Juin 1978.
Christian Vander : batterie, vocaux, piano, piano électrique, percussions
Benoît Widemann : piano, piano électrique, synthétiseurs
Guy Delacroix : basses
Stella Vander : choeurs
Lisa "Deluxe" Bois : choeurs
Klaus Blasquiz : choeurs
La sortie de l'album Udü Wüdü n'ayant pas entrainée de 45 tours, il faudra attendre 1978 et la parution d'Attahk pour voir un nouveau simple. Le précédent datant de 1975, extrait du Live Hhaï (voir Ici).
Nous sommes toujours sur un tirage n'ayant pour destination que les radios, média certes rare (5 ou 6 radios françaises en ce temps là) mais de fort pouvoir d'audience et donc d'achat.
Sa diffusion radiophonique fut certainement très limitée, voire incertaine, même si les titres choisis ainsi que la structure de l'album 33 tours, avec ses morceaux courts, pouvaient se prêter à cet exercice.
Les autres médias, magazines et surtout la télé avec le fameux Chorus d'Antoine de Caunes, ont largement participé au succès de l'album en cette année 1978.
Il n'en reste pas moins qu'en raison même de son but (promotion radio), ce disque a eu une diffusion forcément confidentielle.
Le titre de la face A, Spiritual, donc celui mis en avant, a le mérite d'être complet, une première pour un extrait d'album, tous les précédents ayant été coupés. Il est bien dommage que ce Spiritual avec sa montée progressive, ses voix à multiples niveaux, ses chœurs de toute beauté, le tout dans une ambiance Tamla Zeuhl survoltée n'ai guère été diffusé Le final de ce titre, doucement réduit, me fait dire que ce titre pourrait avoir une durée bien plus longue comme le laisse supposer certaines versions scéniques...
L'autre face, nous offre un The Last Seven Minutes certes tronqué de ses trois premières minutes par rapport au 33 tours, mais pour autant il en conserve toute son énergie, toute sa saveur, toute sa force.
Fait amusant, ce Last Seven Minutes, passant ici de 7 à 4 minutes, aurait pu s'appeler The Last Four Minutes...
Ce simple n'a pas de pochette en raison de son rôle promotionnel, et n'a eu qu'une seule chronique dans la presse
La rareté de ce disque est forte, 7 à 8 sur l'échelle des 45 tours kobaïens !
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